sous les cotes verdoyantes
d’une meuse alanguie
des reposes têtes
des chaises longues
des histoires
et l’eau clapote doucement
et le vent agite les feuilles des saules
ils posent leurs pas
sur les transats contés
et s’endorment parfois
d’une histoire la mélodie
l’écoute tenue en haleine
d’une vérité passagère
patience la sirène
offre ses appâts
à ceux qui savent sourire
au sérieux d’un repos
l’imaginaire galope
sur les plages chaudes
une invitation à franchir
le pont de passer
d’une rive à l’autre
d’écouter de partager
et les mots qui dans nos têtes
parfois se bousculent
sont toujours l’objet d’une rencontre
pour qu’une histoire vienne à naitre
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