samedi 16 avril 2011

Agnes témoigne....

Tout se bouscule encore dans ma tête six jours plus tard , la poussière n’est pas encore retombée au fond du vase , retombera-t-elle ? si jamais cela ne se faisait pas , que se passera t-il pour moi ? , peut-être « Maître » Didier a-t-il la réponse ?
Les exercices de qi qong m’ont bien plu , même si je n’étais pas  spécialement gracieuse dans les mouvements des bras .
L’INSOLENCE , je n’aurai jamais utilisé ce mot pour moi-même , à présent à moi l’insolence
ou du moins je vais essayer de l’être.
J’ai particulièrement apprécié le jeu où l’on répétait en léger décalé ce que disait l’autre , et même que cela devenait mélodieux , alors qu’on disait des phrases sans importance ….
La grande bienveillance de Didier à notre égard et celle de tout le groupe est à retenir dans nos têtes. C’est tellement bon d’entendre du positif , cela te donne la pêche ….
Merci à Didier et à toutes et tous.
J’ai vécu des moments forts , DESEMPAREE où mon palpitant palpitait plus vite qu’à l’ordinaire , c’est comme si j’avais fait un marathon !  Heureusement Didier comme un magicien, avec les mots , avec des gestes faisait retomber ce rythme cardiaque endiablé ….
Il m’a  aidée à sortir de ma bouche mes mots à moi et abandonner mes maux .  
Et les à côtés du stage , tout un poème , je dirais même plus une franche rigolade avec Arlette, Colette, Huguette et son « castor », Maryse et Jean Claude.
Le petit dej en chanson , super ! et bravo à Jean Claude
Sans oublier le petit resto sympa déniché par Maryse , où tout est régal   des yeux , des oreilles , du palais .
Si c’était à refaire , je recommencerais
Agnès
Agnés entre en scène à l'atelier de Jeudi

1 commentaire:

  1. du jeu sur les papilles le travail du conte ramasse amasse et tracasse
    truculantes phrases qui refuse de sortir toutes nues, simple appareil du " ce que je vois" insolence" de la peau qui s'offre aux regards
    de l'habitude de s'habiller sans babiller, nous savons plus souvent babiller sans nous déhabiller, appremons à vivre à la parole nue qui cause de ce que je vois, et ce que je vois est ce que je suis dis le sage papi dans ses jardins coquins de culture chaires,
    rions de nos mots et les mots rirons de nous
    toruvons la langue qui agite l'histoire au vent de nos songes

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